Cet article fait parti de la série "Stage d'été", qui présente des étudiants vivant à l'étranger durant un été.

Les étudiants Bachelor sont de retour sur le campus après les vacances d'été !

De nombreux étudiants ont profité de ce congé pour suivre une université d'été. Clémence, étudiante de deuxième année du programme, a partagé son expérience à l'Université technique du Danemark (DTU)

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Clemence Summer school Ecole polytechnique programs


Pourquoi avez-vous décidé de suivre des cours d'été ?
 Je voulais vraiment faire quelque chose pendant les vacances d'été, soit un stage en entreprise, soit une école d'été. Comme c'était ma première année après avoir obtenu mon baccalauréat, j'ai pensé que c'était le bon moment pour une école d'été. Cela pourra m'apporter plus d'expérience et de connaissances pour faire un stage dans une entreprise l'année prochaine.

Où es-tu allée ? Je suis allée au Danemark. J'ai toujours été fascinée par les pays scandinaves, c'était donc une belle opportunité pour moi d'y aller. De plus, je voulais découvrir un peu plus du secteur de la recherche, et beaucoup des cours offerts à l'Université technique du Danemark (DTU) étaient axés sur la recherche.

Parlez-nous des autres personnes de l'école d'été qui vous accompagnent : Dans le cours que j'ai choisi, j'assistais une doctorante dans ses recherches pour sa thèse, donc j'étais seule avec elle. Mais j'ai pu rencontrer d'autres étudiants qui étudiaient à DTU, en échange, ou qui y faisaient une université d'été. J'ai rencontré des gens du monde entier : Canada, États-Unis, Hong Kong, Turquie, Chine, Danemark, Pays-Bas et France.

Quelques mots sur les cours ? L'organisation au Danemark est très libre. Je pouvais organiser mes journées comme je le voulais, selon les réunions que j'avais ou la quantité de travail et les tâches que je devais accomplir. Mais en général, je commençais à 9h et je partais vers 17h (parfois plus tôt, parfois plus tard).

Quel est ton souvenir préféré ? Mon souvenir préféré a été de regarder le lever du soleil avec des amis à Nyhavn, l'un des endroits les plus touristiques de Copenhague. Il y a beaucoup de maisons colorées et en journée il y a beaucoup de monde. Mais tôt le matin, il n'y a personne. Assis là avec des amis, à rire et à regarder le lever du soleil, c'était incroyable.

Quel est ton moins bon souvenir ? Le jour de mon arrivée, j'ai décidé de visiter la ville. Je me promenais près du port, quand un goéland marin a décidé de se poser presque sur moi. Sur le moment, j'étais agacée mais maintenant je peux dire que c'est un souvenir amusant.

Avez-vous fait face à des défis ? Je dirais que le principal défi pour moi était la langue. Je ne parlais pas un mot de danois et au début c'était compliqué, surtout pour les transports. Mais la plupart des gens parlent anglais et sont très serviables et amicaux, donc je trouvais toujours une solution.

Un fait culturel amusant sur le Danemark : à Copenhague, tout le monde fait du vélo. Dans chaque rue, il y a un espace réservé aux cyclistes. J'avais entendu dire que c'était le cas, mais je n’aurais pas imaginé que cela serait aussi développé. On peut observer que souvent, les gens n'attachent pas leur vélo, ce qui souligne à quel point la ville est sûre.

Qu'est-ce que cette expérience vous a apporté ? Sur le plan personnel, elle m'a apporté surtout une capacité d'adaptation mais elle m'a aussi permis d'élargir ma culture. Je ne connaissais rien du Danemark avant, et maintenant, je peux dire que j'en sais plus sur l'organisation du pays, son histoire, sa culture et sa population. J'ai aussi rencontré beaucoup de gens de différents pays, et c'est ce qui a été le plus enrichissant pour moi. Sur le plan académique, j'ai pu découvrir le domaine de la recherche. J'ai travaillé dans des laboratoires de chimie avec mes tuteurs et c'était nouveau pour moi. J'ai également pu en apprendre davantage sur le stockage de l'énergie.
 

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